les jeux de mots fatiguent
petits plaisirs, grandes fautes
Paul Magnett colle au frigo, rigide comme un syndicaliste carolo, c’est son charme.
Il tient de la séduction et du frigo: bon conservateur éclairé si la porte s’ouvre.
Pieux, il écoute ses ouailles sans s’offusquer, mais se raidit à la première contradiction. Jouissance à bas prix.
Un musée d’art moderne, dire: contemporain serait plus séduisant,
Urbanisme, humanisme? twitter est plus subtil…
Il ouvre des portes, crée des courants d’air, des appels….d’air, peut-être.
La Traviata, Séguéla ou comme Le Soir, fossoyeur éclairé, vient de les découvrir, J. F. Khan , F O Giesbert et Laurent Joffrin? Pourquoi bas BHL et DSK…
L’élite se délite, la faute au peuple!
Il n’y a plus de lanternes, il n’y a plus d’aristocrates, restent les vessies.
les Gillion-Crowet, messies de l’art nouveau, manient la pipe et le fourneau, écolos sans le savoir, ils menacent nos musées du martinet, mais celui-ci est interdit de nichoir au mont des arts. Comme ils le laissent entendre, il y a plus d’avenir dans la moutarde chinoise.
Draguet s’y croix, Delacroix, David, Bastin, en sont les premières victimes, mais le chemin est long qui, jusqu’au cinquantenaire, sinon au centenaire, mène à l’art moderne, aussi dit contemporain.
L’art moderne n’a pas vraiment la côte: l’ARAU aura-t-il le dernier mot?
Coudenberg, Ravenstein, Villa Hermosa: des impasses?
On nous a promis la vérité.