Archives mensuelles : février 2012

Golgotha ou mont des arts

les jeux de mots fatiguent

petits plaisirs, grandes fautes

Paul Magnett colle au frigo, rigide comme un syndicaliste carolo, c’est son charme.

Il tient de la séduction et du frigo: bon conservateur éclairé si la porte s’ouvre.

Pieux, il écoute ses ouailles sans s’offusquer, mais se raidit à la première contradiction. Jouissance à bas prix.

musée sans musée – museum zonder museum©delirurbain

Un musée d’art moderne, dire: contemporain serait plus séduisant,

Urbanisme, humanisme? twitter est plus subtil…

Il ouvre des portes, crée des courants d’air, des appels….d’air, peut-être.

La Traviata, Séguéla ou comme Le Soir, fossoyeur éclairé,  vient de les découvrir, J. F. Khan , F O Giesbert et Laurent Joffrin? Pourquoi bas BHL et DSK…

L’élite se délite, la faute au peuple!

Il n’y a plus de lanternes, il n’y a plus d’aristocrates, restent les vessies.

les Gillion-Crowet,  messies de l’art nouveau, manient la pipe et le fourneau, écolos sans le savoir, ils menacent nos musées du martinet, mais celui-ci est interdit de nichoir au mont des arts. Comme ils le laissent entendre, il y a plus  d’avenir dans la moutarde chinoise.

Draguet s’y croix, Delacroix, David, Bastin,  en sont les premières victimes, mais le chemin est long qui, jusqu’au cinquantenaire, sinon au centenaire, mène à l’art moderne, aussi dit contemporain.

L’art moderne n’a pas vraiment la côte: l’ARAU aura-t-il le dernier mot?

Coudenberg, Ravenstein, Villa Hermosa: des impasses?

On nous a promis la vérité.

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Classé dans Humeur, Musées